Mais oui, je suis une girafe M’a raconté la tour Eiffel. Et si ma tête est dans le ciel, C’est pour mieux brouter les nuages, Car ils me rendent éternelle. Mais j’ai quatre pieds bien assis Dans une courbe de la Seine. On ne s’ennuie pas à Paris. Les femmes, comme des phalènes, Les hommes, comme des fourmis, Glissent sans fin entre mes jambes Et les fous, les plus ingambes, Montent et descendent le long De mon cou comme des frelons. La nuit, je lèche les étoiles. Et si l’on m’aperçoit de loin C’est que très souvent j’en avale Une sans avoir l’air de rien.
5. Réécrivez chacune de ces phrases en remplaçant le premier verbe par celui qui est indiqué entre parenthèses.
1. Je sais que tu seras à la gare à onze heures et demie pour ne pas rater le train de midi.
2. Je crois que tu viendras à la piscine avec moi.
3. Nous attendons que vous soyez en vacances.
4. Vous pensez qu'ils pourront se reposer ici.
5. Je souhaite que nous ayons beaucoup de chance.
6. Je doute qu'ils soient trop fatigués pour venir.
7. Ils espèrent que leur élève réussira.
8. Je suis étonné qu'elle prenne le train de 12h 50.
9. Je crois qu'il fera assez beau pour faire une marche en montagne.
10. Il est sûr que tu feras du sport tous les jours.
Объяснение:
M’a raconté la tour Eiffel.
Et si ma tête est dans le ciel,
C’est pour mieux brouter les nuages,
Car ils me rendent éternelle.
Mais j’ai quatre pieds bien assis
Dans une courbe de la Seine.
On ne s’ennuie pas à Paris.
Les femmes, comme des phalènes,
Les hommes, comme des fourmis,
Glissent sans fin entre mes jambes
Et les fous, les plus ingambes,
Montent et descendent le long
De mon cou comme des frelons.
La nuit, je lèche les étoiles.
Et si l’on m’aperçoit de loin
C’est que très souvent j’en avale
Une sans avoir l’air de rien.