Je demeure avec mes parents (non) loin du centre dans un nouvel immeuble à dix étages. Ma maison se trouve juste en face de la Mairie avec son drapeau blanc-bleu-rouge. A côté il y a un parc, le lieu préféré des enfants, des chiens et des amoureux. La poste est au coin de la rue centrale et de la rue du Marché. Et, naturellement, le marché est dans la rue du même nom. Si vous cherchez une banque, elle est aussi dans cette rue, entre la poste et un restaurant. Ce n’est pas loin, à quelques mètres de ma maison. Pour garer la voiture ? C’est facile. Il y a un parking (payé) près d’ici. Vous passez devant le marché et vous continuez tout droit. C’est au bout de la rue. Ne cherchez pas la cabine téléphonique et l’arrêt d’autobus. Ils sont au carrefour, sur le trottoir. A propos, la bouche (une entrée) du métro est juste à votre gauche. Au rez-de-chaussée de ma maison il y a une boulangerie où j’achète du pain ; une pharmacie où on achète des médicaments et une librairie où je passe une ou deux fois par semaine pour regarder de nouveaux livres. C’est commode. Le long de ma rue il y a beaucoup d’arbres. Ma rue est assez calme parce qu’il y a peu de voitures. Elle est propre et belle.
La science paraît à l'homme du XXe siècle une activité intellectuelle et pratique si naturelle que beaucoup ne se posent pas la question au sujet de sa diversité.
La science est née parce que l'homme l'avait inventée en demandant à la nature : qui ? comment ? pourquoi ? C'est ainsi que des disciplines fort différentes ont fait leur apparition. La société se développant, l'ensemble des connaissances sur la pensée, sur la vie sociale a fait le corps des sciences humaines.
La science avançait à travers les âges grâce aux cycles reliant l'observation, la théorie, l'expérience. Ce développement a donné lieu à ce qu'on appelle généralement la science appliquée qui est à la base des réalisations techniques. Les extraordinaires succès de la technique ont fait croire à certains que cette technique, devenue autonome, pouvait progresser infiniment par elle-même. Rien de plus faux. La technique exige de passer par la découverte scientifique pour trouver un nouvel élan. Le XXe siècle a vu l'avènement du microscope électronique, du radiotélescope, des satellites artificiels, des ordinateurs qui ont marqué profondément les sciences et les méthodes.
Il faut indiquer encore un phénomène remarquable. Jusqu'ici on groupait en général ensemble, dans la classification des sciences, les mathématiques, la physique et la chimie, pour former avec, l'astronomie et les sciences de la Terre, l'ensemble des sciences dites « exactes ». Cette séparation d'avec les sciences biologiques et les sciences humaines n'a plus le même sens aujourd'hui, ces dernières comportant des systèmes de mesures et des relations mathématiques entre elles. Et l'apparition des disciplines scientifiques intermédiaires, telles que la biochimie, la biophysique, la bionique a rendu cette distinction encore moins marquée : il faut bien voire cependant qu'il s'agit alors essentiellement de l'utilisation des méthodes de la physique et de la chimie à l'étude des organismes vivants, de même qu'en astrophysique ces méthodes sont appliquées à l'étude de l'univers extraterrestre.
De plus en plus sociale, collective, la science doit être à notre époque, organisée à l'échelle de la collectivité. Elle concerne les catégories diverses de travailleurs : chercheurs, ingénieurs, techniciens, personnels administratifs, etc. Elle s'effectue parfois dans d'énormes centres dont l'organisation rappelle une entreprise de production. Dans certains cas, elle se réalise sur les lieux de la production elle -même.
La fonction sociale de la science se modifie surtout parce qu'elle intervient de plus en plus dans les antres secteurs de la vie sociale. On pourrait parler des liens nouveaux entre les sciences et les arts, de l'évolution de l’information, de l'utilisation de nombreuses disciplines dans le domaine de la santé, et de plusieurs autres faits.
L'univers de la science, théorique et expérimentale, humaine et exacte, c'est une œuvre collective des chercheurs scientifiques de toutes les branches de la science.
Ma maison se trouve juste en face de la Mairie avec son drapeau blanc-bleu-rouge. A côté il y a un parc, le lieu préféré des enfants, des chiens et des amoureux. La poste est au coin de la rue centrale et de la rue du Marché. Et, naturellement, le marché est dans la rue du même nom.
Si vous cherchez une banque, elle est aussi dans cette rue, entre la poste et un restaurant. Ce n’est pas loin, à quelques mètres de ma maison.
Pour garer la voiture ? C’est facile. Il y a un parking (payé) près d’ici. Vous passez devant le marché et vous continuez tout droit. C’est au bout de la rue.
Ne cherchez pas la cabine téléphonique et l’arrêt d’autobus. Ils sont au carrefour, sur le trottoir. A propos, la bouche (une entrée) du métro est juste à votre gauche.
Au rez-de-chaussée de ma maison il y a une boulangerie où j’achète du pain ; une pharmacie où on achète des médicaments et une librairie où je passe une ou deux fois par semaine pour regarder de nouveaux livres. C’est commode.
Le long de ma rue il y a beaucoup d’arbres. Ma rue est assez calme parce qu’il y a peu de voitures. Elle est propre et belle.
La science à plusieurs faces.
La science paraît à l'homme du XXe siècle une activité intellectuelle et pratique si naturelle que beaucoup ne se posent pas la question au sujet de sa diversité.
La science est née parce que l'homme l'avait inventée en demandant à la nature : qui ? comment ? pourquoi ? C'est ainsi que des disciplines fort différentes ont fait leur apparition. La société se développant, l'ensemble des connaissances sur la pensée, sur la vie sociale a fait le corps des sciences humaines.
La science avançait à travers les âges grâce aux cycles reliant l'observation, la théorie, l'expérience. Ce développement a donné lieu à ce qu'on appelle généralement la science appliquée qui est à la base des réalisations techniques. Les extraordinaires succès de la technique ont fait croire à certains que cette technique, devenue autonome, pouvait progresser infiniment par elle-même. Rien de plus faux. La technique exige de passer par la découverte scientifique pour trouver un nouvel élan. Le XXe siècle a vu l'avènement du microscope électronique, du radiotélescope, des satellites artificiels, des ordinateurs qui ont marqué profondément les sciences et les méthodes.
Il faut indiquer encore un phénomène remarquable. Jusqu'ici on groupait en général ensemble, dans la classification des sciences, les mathématiques, la physique et la chimie, pour former avec, l'astronomie et les sciences de la Terre, l'ensemble des sciences dites « exactes ». Cette séparation d'avec les sciences biologiques et les sciences humaines n'a plus le même sens aujourd'hui, ces dernières comportant des systèmes de mesures et des relations mathématiques entre elles. Et l'apparition des disciplines scientifiques intermédiaires, telles que la biochimie, la biophysique, la bionique a rendu cette distinction encore moins marquée : il faut bien voire cependant qu'il s'agit alors essentiellement de l'utilisation des méthodes de la physique et de la chimie à l'étude des organismes vivants, de même qu'en astrophysique ces méthodes sont appliquées à l'étude de l'univers extraterrestre.
De plus en plus sociale, collective, la science doit être à notre époque, organisée à l'échelle de la collectivité. Elle concerne les catégories diverses de travailleurs : chercheurs, ingénieurs, techniciens, personnels administratifs, etc. Elle s'effectue parfois dans d'énormes centres dont l'organisation rappelle une entreprise de production. Dans certains cas, elle se réalise sur les lieux de la production elle -même.
La fonction sociale de la science se modifie surtout parce qu'elle intervient de plus en plus dans les antres secteurs de la vie sociale. On pourrait parler des liens nouveaux entre les sciences et les arts, de l'évolution de l’information, de l'utilisation de nombreuses disciplines dans le domaine de la santé, et de plusieurs autres faits.
L'univers de la science, théorique et expérimentale, humaine et exacte, c'est une œuvre collective des chercheurs scientifiques de toutes les branches de la science.