Mais oui, je suis une girafe M’a raconté la tour Eiffel. Et si ma tête est dans le ciel, C’est pour mieux brouter les nuages, Car ils me rendent éternelle. Mais j’ai quatre pieds bien assis Dans une courbe de la Seine. On ne s’ennuie pas à Paris. Les femmes, comme des phalènes, Les hommes, comme des fourmis, Glissent sans fin entre mes jambes Et les fous, les plus ingambes, Montent et descendent le long De mon cou comme des frelons. La nuit, je lèche les étoiles. Et si l’on m’aperçoit de loin C’est que très souvent j’en avale Une sans avoir l’air de rien.
La principale différence de l'hiver, d'autres périodes de l'année - c'est rechercher un miracle de la nature, de la neige. Les enfants bruyants rencontre la première neige. Il est mince couverture de la responsabilité sur les trottoirs, sur пожелтевшую l'herbe, sur les manteaux des passants. Les enfants avec délice высовывают langues, afin d'attraper froid à la première des nouvelles de l'hiver. Quelques неделек l'hiver commence déjà à essayer de toute la force. La neige fait tomber calme, grand, poilu. Tu iras tôt dans la matinée et fermeras les yeux de joie et scintillantes de congères. De la fête du soleil ils deviennent roses, et l'ombre des arbres, doucement, le bleu.
M’a raconté la tour Eiffel.
Et si ma tête est dans le ciel,
C’est pour mieux brouter les nuages,
Car ils me rendent éternelle.
Mais j’ai quatre pieds bien assis
Dans une courbe de la Seine.
On ne s’ennuie pas à Paris.
Les femmes, comme des phalènes,
Les hommes, comme des fourmis,
Glissent sans fin entre mes jambes
Et les fous, les plus ingambes,
Montent et descendent le long
De mon cou comme des frelons.
La nuit, je lèche les étoiles.
Et si l’on m’aperçoit de loin
C’est que très souvent j’en avale
Une sans avoir l’air de rien.